18 de dezembro de 2010

Coitado do Eduardo Pitta, foi preciso falar-se em tráfico de órgãos para descobrir quem é Hashim Thaci, agora primeiro-ministro do Kosovo e afamado bandido e terrorista que já deu muito jeito no passado


Com imperdoável atraso, só agora descubro que Eduardo Pitta brindou há dias os seus leitores com este inesquecível post, façam favor de ler:



Lendo isto da parte de um intelectual tido como atento e bem informado, a única pergunta que apetece fazer é quantos anos andou Pitta distraído sobre o problema do Kosovo (a tal província que uma Resolução da ONU ao príncipio jurava ser parte da «integridadde territorial da Jugoslávia» ) e quantos anos andou a leste dessa sinistra personagem de seu nome Hashim Thaci, primeiro chefe do bando UÇK (que chegou a estar na lista de organizaçºões terroristas da UE) e agora, com todas as benções do costume é primeiro-ministro do Kosovo.

Eu não sou considero a Wikipédia a nova Biblia da Internet mas até aí o poeta, agora meu conterrâneo segundo julgo, bem podia ter aprendido alguma coisinha sobre o passado do tal Thaci.

«(...) 30 ans à peine quand il prend la tête de l'aile politique de l'Armée de Libération du Kosovo (UCK), pendant l'été de 1998, qui lutte contre les forces du régime de Slobodan Milosevic pendant la guerre du Kosovo (1998-1999). Il s'auto-proclame alors Premier ministre officieux du gouvernement provisoire du Kosovo, que Belgrade refuse de reconnaître. Soutenu par Washington et l'OTAN[2], l'UCK se renforce en 1997 pour contrôler en mai 1998, un quart du territoire du Kosovo[réf. nécessaire]. Athée, Thaçi écarte, lors du conflit, les islamistes étrangers (Saoudiens, Iraniens), qui tentaient de s'imposer au Kosovo comme ils l'avaient fait en Bosnie au début des années 1990[1].
Éliminant ses rivaux au sein de l'UCK, il place des proches aux postes-clé du gouvernement[3]. À la tête de la délégation des indépendantistes kosovars lors de la conférence de Rambouillet (1999), il s'affirme comme modéré au sein de l'UCK, ce qui lui vaut le soutien de Washington. Il est néanmoins remarqué par la secrétaire d'État Madeleine Albright en raison de son refus de signer un accord ne prévoyant pas explicitement un référendum d'indépendance[1].

On le soupçonne d'avoir ordonné, en 1997-1998, un certain nombre d'assassinats contre ses rivaux en conjonction avec les services secrets albanais[2], dont le journaliste Ali Uka, mort en juin 1997[2] ; Ilir Konushevci, tué en avril 1998 quelques jours après avoir accusé Thaçi de profiter personnellement du trafic d'armes à destination de la guérilla[2] ; ou Ahmet Krasniqi, dirigeant des Forces armées de la République du Kosovo, un groupe paramilitaire rival de l'UCK soutenu par Bujar Bukoshi, Premier ministre en exil du gouvernement d'Ibrahim Rugova[2]. Thaçi tout comme James Rubin, le porte-parole du département d'État américain, ont nié cela, Rubin affirmant qu'il n'avait aucune preuves d'un « programme d'assassinats ou d'exécutions dirigé par le commandement » de l'UCK[2]. Bujar Bukoshi affirmait quant à lui que « les cadavres n'avaient jamais été un obstacle dans la carrière de Thaçi »[2].
Thaci com Madeleine Albright